Écrire pour ne pas hurler : libérer ce qu’on garde en silence

Il y a des jours où tout monte d’un coup.
Les émotions bouillonnent, sans prévenir.
On sent que ça déborde à l’intérieur… mais dehors, il faut rester calme.
Sourire. Continuer. Faire comme si tout allait bien.

Alors, on écrit.


Écrire pour ne pas exploser

Pas pour faire joli.
Pas pour que ce soit lu.
On écrit pour ne pas hurler.

Pour ne pas crier sur les autres.
Pour ne pas se perdre soi-même.
On pose les mots comme on poserait un cri silencieux.

Et quelque chose se libère.


Des mots comme des soupirs

Parfois, ce ne sont pas de belles phrases.
Ce sont juste des mots jetés, brisés, confus.
Des larmes entre les lignes.
Des traits rageurs sur une page.

Mais c’est un début.
Un premier pas vers le calme.
Un souffle dans la tempête.


Un refuge rien qu’à soi

Écrire, c’est un refuge.
Un espace où l’on peut tout dire.
Sans se justifier.
Sans se retenir.

On peut être vrai. Fragile. En colère. En détresse.
Sans masque.

C’est un endroit où l’on se dépose,
où l’on respire enfin.


Chaque mot posé est une force retrouvée

Parfois, ne pas hurler, c’est déjà une victoire.
Et chaque mot écrit est un petit pas vers soi.
Une façon de tenir.
De traverser le moment sans tout casser.

Écrire pour ne pas hurler, c’est se sauver doucement.
C’est transformer la douleur en mots.
Et les mots en courage.


Conclusion : Écrire pour se contenir sans se détruire

Il y a des jours où écrire est une urgence.
Une nécessité.
Un moyen de garder l’équilibre quand tout vacille à l’intérieur.

Et si tu ressens ce feu en toi,
prends un carnet. Un stylo.
Écris. Sans filtre. Sans peur.
Chaque mot est un cri retenu, transformé.
Et chaque ligne… une force retrouvée.

Quand les cris restent dans la gorge, les mots deviennent refuge. Découvrez des carnets pensés pour accueillir ce que l’on n’ose dire : La chambre des silences, Vestiges d'émotions et Le murmure des pages.


Écrit par Nicky - À l'encre du coeur

 

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